Mont Adstock : des sentiers diversifiés accessibles à l’année

Afin de rejoindre un plus grand nombre d’adeptes du plein air, la Municipalité d’Adstock a restauré différents sentiers pédestres en plus d’en transformer d’autres, en collaboration avec la Coopérative de solidarité récréotouristique du Mont Adstock. L’hiver passé, la pratique du ski hors-piste et de la randonnée alpine ont été possibles. Au printemps, les adeptes de randonnée pédestre ont eu accès à des sentiers rafraîchis. Les nouveaux sentiers de vélo de montagne sont officiellement ouverts depuis le 10 septembre dernier.

Cette ouverture officielle a connu un franc succès. Les nouveaux sentiers ont été dévalés par 250 cyclistes, grands et petits. Pour la saison 2022, près de 5 kilomètres de sentiers sont disponibles sur le versant nord-est de la montagne, et près de 4 kilomètres sur le versant sud. Les familles et les cyclistes débutants à intermédiaires y trouveront beaucoup de plaisir et de sensations.

En ce qui a trait aux sentiers pédestres, en plus d’avoir élargi les sentiers, amélioré le drainage et installé des passerelles ainsi que des ponceaux, des terrasses ont été modernisées pour les rendre plus sécuritaires et permettre aux utilisateurs de se reposer pendant leur activité physique et de pique-nique. En s’aventurant dans la montagne, les passionnés du plein air découvriront non seulement des installations de qualité, mais aussi les plus beaux paysages adstockois. Des panneaux de signalisation ont également été installés au pied de la montagne, ainsi que dans les divers sentiers.

Ces travaux ont été réalisés grâce à une contribution financière de 120 000 $ provenant du Programme de soutien à la mise à niveau et à l’amélioration des sentiers et des sites de pratique d’activités de plein air au Québec.

La Coopérative de solidarité récréotouristique du Mont Adstock a obtenu une nouvelle subvention de 150 000 $ pour poursuivre le développement des activités et des services offerts. Plus de sentiers pour la marche, pour le vélo de montagne, plus de plateformes.

Sources : Émilie Marcoux-Mathieu, Mathieu Desmarais et Sabrina Thériault