Quelques faits insolites

Par Mylène Croteau

 Les voitures rouges seraient des aimants à contraventions !

De plus, tout ce qui représente un contraste clair avec notre environnement attire rapidement notre attention. Pensez aux logos des multinationales comme Coca Cola, IGA et McDonald, ils sont résolument rouges ! Enfin, le rouge est associé à la vitesse, car, traditionnellement, les bolides sport sont de cette couleur… et la préférée lorsqu’on va chez le concessionnaire automobile reflète peut-être un penchant pour conduire de façon plus téméraire ou à pieds plus pesants !

Les montagnes russes pour éloigner les Américains de leurs péchés !

En 1880, les endroits dits de luxure, tels que les bordels, les saloons et les tavernes correspondant à des lieux immoraux et de perdition se retrouvèrent dans la ligne de mire de l’homme d’affaires LaMarcus Thompson. Ce dernier en avait ras-le-pompon de constater que ses compatriotes américains perdaient leur temps à picoler en douteuse compagnie. Probablement doté d’une âme de pasteur, ou s’investissant d’une mission salvatrice, il fit construire à Coney Island les premières montagnes russes en Amérique !

La « Jamais contente » en 1899, en Belgique

Depuis les années 1830, des Écossais, des Américains de même que des Français travaillent ardemment à produire le premier véhicule électronique. Des débuts 1830 à presque 1900, moult essais ont été réalisés, mais ce furent des Belges, qui, en 1899, réussirent l’exploit d’en concevoir une pouvant rouler à environ 100 km/h. L’auto était pilotée par le Belge Camille Jenatzy, et munie de pneus Michelin. Elle était en forme de torpille. Elle fut réellement nommée la « Jamais contente » !

Les bonnets d’âne… signe d’intelligence ou source de moqueries ?
Un philosophe du XIIIe siècle, John Duns Scotus, croyait fermement que le port d’un chapeau pointu aiderait efficacement celui ou celle qui le porte à partager avec emphase ses connaissances. Le chapeau devenait une extension du cerveau. Les disciples de John le portaient fièrement. Toutefois, cette idée saugrenue étant nettement moins populaire au XVe siècle, le bonnet d’âne a complètement changé d’utilité, pour devenir un objet provoquant des moqueries aux élèves dissipés qui devaient le porter devant la classe.