Une source miraculeuse dans le canton de Wolfestown !

(Gracieuseté)

Par Michel Côté

Tout en parcourant les vieux journaux à la recherche de textes journalistiques historiques, je suis tombé sur un article surprenant d’un événement hors du commun qui s’est passé dans le canton de Wolfestown, dans l’une des municipalités suivantes, soit Saint-Fortunat, Saint-Julien, ou Saint-Jacques-le-Majeur-de-Wolfestown.

J’ai retranscrit intégralement le texte du journal Le Constitutionnel du 4 avril 1877 – et ce même texte, quoi que quelque peu différent, a été aussi publié dans le journal Le Progrès du 23 mars 1877.

Si, à la lecture de ce texte, vous vous rappelez avoir entendu dire où cette source miraculeuse coule, svp m’en informer par la voie de votre journal préféré, Le Cantonnier.

LA SOURCE MIRACULEUSE

 « En dépit de la circulaire de Mgr l’Évêque de Sherbrooke, nous voyons par les dernières nouvelles que la petite fille de Wolfestown continue toujours à attirer un grand nombre de visiteurs. On a compté jusqu’à quarante et cinquante voitures autour de la fameuse source pendant une journée. Il y vient des malades de toutes les parties du pays. On parle de guérisons extraordinaires et naturellement les commentaires vont leur train. Le nom de l’enfant est Filion. Sa famille est pauvre mais respectable. La source se trouve sur le terrain d’un de ses oncles. Aux malades qui souffrent à l’intérieur, elle leur donne de l’eau à boire. Pour les plaies, blessures, etc., ou maladies extérieures, elle s’en sert comme lotion et recommande des prières à son “patient”. Elle est en voie de devenir célèbre et de supplanter les médecins. Il y a bien longtemps que le paisible canton de Wolfestown n’avait attiré autant l’attention publique. »

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