Par Marie Drolet
L’été est l’apogée où il fait bon écrire
L’âme en liesse
Le cœur solstice
La bouche cerise
Les mains feuilles
Le pied rivage
Les bras ruisseaux
Les seins tendresse
de plumes d’oiseaux
Le souffle court
extasié
Les orteils épars
perdus dans l’herbe trempée
Les yeux d’étoiles
Le sourire en fleur pivoine
Je suis toute magnifiée
C’est à cause de l’été
- Un troisième article en liste pour les Prix de l’AMECQ - 25 avril 2024
- ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DU JOURNAL LE CANTONNIER - 25 avril 2024
- L’ASSOCIATION DE VÉLO DE MONTAGNE DES APPALACHES MAINTENANT BIEN EN SELLE - 20 avril 2024