Le Challenge Andrew Setlakwe sera de retour !

Après un arrêt de deux ans dû aux restrictions sanitaires, le Challenge Andrew Setlakwe sera de retour le 4 mars prochain, à la Station récréotouristique du Mont Adstock. Pour une seconde fois, les skieurs sont invités à se lancer des défis entre eux : ton mari, ta fille, ton collègue, ton boss, ton ami, un autre patrouilleur de la montagne… c’est le temps de régler vos comptes dans un parcours en parallèle !

Il suffit de visiter la page Facebook de l’événement pour constater que les participants ont rapidement saisi l’enjeu de cette nouvelle édition. Chacune des vidéos diffusées revêt un caractère humoristique et annonce en grande pompe quelques-uns des duels. C’est le cumulatif de deux descentes qui indiquera le gagnant entre deux personnes. Par la suite, les meilleurs coureurs seront retenus pour une élimination en après-midi. « Nous avons repris le concept de 2020 puisque c’est un événement festif et du même coup un brin compétitif. L’idée est aussi de rendre accessible le parcours à tous les skieurs, autant les jeunes que les moins jeunes, afin de s’amuser sans aucune prétention. », mentionne la présidente de l’équipe de compétition d’Adstock, Mme Maguy Pomerleau.

Ce sera également une journée riche en émotions et dédiée à la mémoire d’Andrew Setlakwe, décédé des suites d’un long combat contre le cancer. Reconnu pour sa passion dans tout ce qu’il entreprenait, pour sa gentillesse et sa grandeur d’âme, Andrew et sa famille ont toujours été impliqués dans le ski. Cet événement lui rend hommage et symbolise la bonté qui le caractérisait si bien. Tous les profits seront d’ailleurs remis à l’Équipe de compétition du Mont Adstock.

Un chansonnier sera présent lors de l’après-ski, animation, bar extérieur avec gin de la Distillerie Shefford, souper spaghetti et soirée en musique avec Simon DJ COOLER Tremblay. Il y aura également un encan silencieux ainsi que le tirage d’une paire de skis Dynastar Speed 963 (d’une valeur de 1150 $) et d’une toile de l’artiste peintre Christiane Gagné.

Source : Maguy Pomerleau