par Jean Boilard et l’aide de l’IA
Tout comme “Le Cantonnier”, le journal communautaire “L’Écho d’en Haut” doit faire face à des choix déchirants. L’équipe de l’Écho d’en Haut annonce que l’édition de septembre 2024 sera la dernière en format papier, après 41 ans de présence continue. Cette décision est imposée par des contraintes budgétaires croissantes qui ne permettent plus de poursuivre sous ce format traditionnel.
La réalité économique des journaux régionaux oblige à repenser leur avenir. Le Cantonnier, tout comme L’Écho d’en Haut, partage les mêmes défis, marqués par la hausse des coûts d’impression, la baisse des revenus publicitaires et l’évolution des habitudes de consommation des lecteurs. L’Écho d’en Haut a pris la difficile décision d’entamer une transition vers le format numérique. Toutefois, cette mutation ne se fera pas du jour au lendemain. La directrice générale, Diane Bérubé, évoque les nombreux défis techniques et organisationnels à relever, tout en précisant qu’elle réfléchit à son propre rôle dans cette nouvelle phase après 32 ans à la tête du journal.
Comme Le Cantonnier, L’Écho d’en Haut mettra tout en œuvre pour continuer à remplir sa mission auprès de la communauté. Le passage au numérique, bien qu’inévitable, représente une opportunité d’explorer de nouvelles façons d’informer et de rester en lien avec le public. Une fois la transition finalisée, les lecteurs pourront s’abonner au journal via le site internet.
Cette transition vers le numérique, bien que déchirante pour ces journaux ancrés dans leurs communautés depuis des décennies, ouvre de nouvelles perspectives pour continuer à servir les citoyens avec le même engagement et la même passion.
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