Le fondateur de Sumacom, Marco Roy, a toutes les raisons d’être fier en ce moment puisque, en plus des succès enregistrés par son entreprise dont la croissance n’a cessé son élan, il vient de voir son rêve réalisé dans un acte de vente à part entière à son fils Tommy.
La relève vient donc d’être garantie. Le père peut ainsi assurer la pérennité de son œuvre par son fils qui évolue au sein du personnel depuis plusieurs années. Il n’est plus question de douter de son intérêt et de sa capacité à poursuivre l’expansion de Sumacom. « Je me suis totalement investi dans Sumacom et j’aimerais qu’il pousse ça encore plus loin », explique Marco Roy. Ce fut d’ailleurs la méthode gagnante que ce dernier a su respecter depuis les débuts en 1996 ; pas question d’un soubresaut, mais au contraire un essor modeste et constant. « On a une longueur d’avance sur la concurrence et il y a de la place illimitée pour le développement, car notre avenir est à l’international ».
Le père et le fils sont unanimes à reconnaître la réussite du transfert de l’entreprise ainsi que la relation respectueuse qui les unit. « On est complémentaires », de dire Tommy. « On a une communication ouverte et on est capables de mettre de l’eau dans notre vin ».
Rappel
L’entreprise familiale se spécialise dans l’identification et la distribution de produits corporatifs. Elle possède l’équipement nécessaire pour identifier pratiquement tout (que ce soit le tissu, le métal, le papier, le bois et le plastique, etc.) par impression ou gravure, quel que soit le domaine. En plus de l’usine d’une surface de 15 000 pieds carrés située dans le motel industriel à Disraeli, Sumacom opère un bureau de vente à Lévis ainsi qu’un autre à Saint-Georges de Beauce. La réussite de l’entreprise est le résultat de la coopération et de l’engagement de ses vingt-six employés.
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