Les propos du Cantonnier

La pandémie a fait ressortir la nécessité des journaux communautaires. Tout comme les autres médias, Le Cantonnier a été qualifié de service essentiel par le gouvernement du Québec. Malgré des conditions de réalisation plus difficiles en raison des règles imposées par la Santé publique, les équipes de rédaction et de …

Pourquoi ne pas s’appliquer à prendre le temps de comprendre l’autre plutôt que de s’empresser de le juger ? Jacques Beaudet

Je ne sais pas si c’est juste moi, mais n’avez-vous pas l’impression que plus ça va et plus le système se déshumanise ? Je vais vous raconter une petite histoire à ce propos. […] Le conjoint de madame Plamondon (nom fictif) vient de décéder. Elle est désemparée et, par-dessus le marché, …

Il est toujours intéressant d’assister à un investissement structurant dans une communauté. C’est le cas de celui pour le parc de la Gare à Disraeli. Il s’agit ici d’un projet à valeur touristique qui profitera à toute la région : les promoteurs Morin-McKaig parlent d’un achalandage de 15 000 personnes. Bravo ! Nous avons …

On ne fait pas changer d’avis quelqu’un en l’insultant, mais en s’expliquant. Jacques Beaudet

Pierre Corneille a dit : « À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ». Là, on vit ensemble un grand péril. Voilà l’occasion d’une grande gloire. Nos comportements sont déterminants pour contrer la pandémie. Nos attitudes sont déterminantes pour conserver une saine vie. Notre solidarité est incontournable pour triompher de la maladie. Jacques Beaudet

Que fait-on le 25 décembre habituellement ? Festoyer, rire, s’empiffrer, et ce, même en confinement. Bizarrement, je corrigeais. Et le 27 décembre ? Je répondais aux élèves concernant la remise d’un travail. Et le 30 décembre ? Ah oui ! Ça me revient… je dirigeais une autre élève. Savez-vous quoi ? Je ne me plains pas. Je suis …

L’an dernier, un certain coronavirus s’immisçait dans nos vies, bouleversant nos habitudes. Que peut-on en dire une année plus tard, que doit-on en retenir ? Des emplois perdus, une économie bousculée, des écoles fermées, des éloignements essentiels calculés, une nouvelle hygiène masquée… et puis, l’isolement, l’abandon, la détresse, la colère, tout …